| La Chope des Puces / Gypsy |
La Chope des Puces et ses Manouches
Les manouches de la chope avec leurs amis, à droite, Mme Ginette Douville.
Depuis le décès de Django Reinhardt en 1953, la musique de ce grand guitariste était en sommeil et presque oubliée.
Le 14 septembre 1963, Monsieur et Madame Douville achètent au 122 rue des Rosiers à St Ouen, un petit bar dénommé chez Marcel et, dès l’achat, l’appellent La Chope des Puces.
De suite, ils contactent un accordéoniste et un jeune guitariste Mondine Garcia. Très vite l’accordéoniste est remplacé par un second guitariste Niglo Landauer. Ce sont eux qui ont fait, dès la fin de l’année 63, la renommée de la Chope des Puces .
De temps en temps, Roger, un violoniste, venait les accompagner.
Niglo décédé, c’est Ninine Garcia qui reprendra la suite avec son père Mondine. Toute la famille Garcia continue depuis de faire de la « Chope » le temple du « Jazz Manouche ».
Merveilleuse musique, beaucoup imitée, mais rarement égalée. Merci à Madame Jeanne Cocq qui a su continuer depuis 1980 à gérer et garder toute cette ambiance et nous nous unissons pour souhaiter bonne chance à Monsieur Campion, très bon guitariste, pour porter encore plus haut et plus loin la valeur musicale de ce petit bar devenu très grand et apprécié par des milliers de gens.
Since the death of Django Reinhardt in 1953, the music of this great guitarist was dormant and almost forgotten.
On September 14, 1963, Mr. and Mrs. Douville bought at 122 rue des Rosiers in St Ouen, a small bar called Chez Marcel and, upon purchase, called it La Chope des Puces.
Immediately, they contact an accordionist and a young guitarist Mondine Garcia. Very quickly the accordionist was replaced by a second guitarist Niglo Landauer. They are the ones who made La Chope des Puces famous at the end of the year 63.
From time to time Roger, a violinist, came to accompany them.
Niglo deceased, Ninine Garcia will take over with his father Mondine. The whole Garcia family has since continued to make the “Chope” the temple of “Jazz Manouche”.
Wonderful music, much imitated, but rarely equaled. Thank you to Madame Jeanne Cocq who has been able to continue since 1980 to manage and keep all this atmosphere and we unite to wish good luck to Monsieur Campion, very good guitarist, to carry even higher and further the musical value of this small bar which has become very large and loved by thousands of people.
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